INTERVIEW

Portrait de Carlos Martins, chef de chantier depuis 20 ans chez Barel&Pelletier, la filiale construction / gros œuvre du groupe Pelletier.

Bonjour Carlos, peux-tu te présenter ?

Bonjour, moi c’est Carlos. J’ai 62 ans et je travaille chez Barel et Pelletier depuis 25 ans. Natif de la belle région de Porto, je suis arrivé en France en 1987 pour travailler sur des chantiers en région parisienne en tant que maçon. Je vivais de petits boulots complémentaires comme les vendanges en Champagne puis le travail dans les chais.

Ma sœur habitait à l’époque à Bourgoin Jallieu. C’est là que j’ai rencontré ma femme et je me suis installé ici dans la région. J’ai 3 enfants dont un fils Danny, chef d’équipe chez Barel.

J’ai commencé il y a 25 ans en tant que maçon coffreur, puis en tant que chef d’équipe pendant 2 ans et aujourd’hui en tant que chef de chantier… bientôt en retraite (sourire).

J’ai évolué grâce à des formations et toute la transmission qui m’a été faite. Le terrain m’a beaucoup appris.

Quels types de chantiers as-tu dirigé ?

J’ai dirigé tous types de chantiers : bureaux, logements, chalets… A partir de 2004, Patrick Pelletier a souhaité me confier les chantiers en montagne, chose que j’ai accepté avec plaisir. J’ai construit beaucoup de résidences d’appartements et hôtels à Courchevel, Val d’Isère, Tignes, La Plagne ou encore Le Grand Bornand.

"Le terrain m'a beaucoup appris"

Quelques soucis de santé me ramènent depuis quelques temps en plaine. J’ai géré la construction du bâtiment Alphi et l’Hexavillage à Méry, J’ai piloté la construction de la résidence Constellia à Sales, un programme immobilier neuf promu par La Cascade et monté avec des modules 3D fabriqués par l’usine AlphaM.3D du groupe Pelletier. Également Le Manège à Courchevel ou encore la résidence Soen à Aix les Bains.

Comment vois-tu la fin de ta carrière ?

Aujourd’hui, après 20 ans en tant que chef de chantier pour Barel et Pelletier, le chantier pour Anderlaine à Alpespace et un autre chantier seront sûrement mes derniers chantiers. J’ai déjà transmis à pas mal de jeunes mon savoir-faire. Peut-être que l’un d’entre eux deviendra chef de chantier comme moi j’ai su évoluer à l’époque.

Et après ?

En bas (au Portugal) ! Je me vois déjà avec ma femme, profiter de mon appartement en bord de mer et de mes enfants et petits-enfants quand ils viendront en vacances 🏖️.

🙏🏼 Merci beaucoup Carlos pour ce témoignage inspirant fait d’humanité, de transmission et d’amour du métier.

Si vous aussi, vous voulez travailler dans le bâtiment en tant que maçon, maçon-coffreur, chef d’équipe ou encore chef de chantier, retrouvez toutes nos offres d’emploi sur le bouton ci-dessous